AMITER (VERNON)
AMITER (VERNON)
L’eau est une constituante majeure du projet. Fil directeur de l’organisation du site, elle en fait sa force et spécificité par le paysage et la qualité de vie qu’elle génère. Entre habitat individuel et collectif, les logements présentent une forme hybride. Ils se développent à plusieurs échelles à travers une succession d’espaces allant du plus privé au plus partagé, en passant par différents degrés de mutualisation.
Cette forme urbaine intermédiaire offre ainsi les qualités de la maison tout en apportant une dimension collective. Le projet développe 35 logements et des locaux d’activités, sur une friche en bord de Seine où la prise en compte du risque d’inondation devient une constituante majeure du projet.
Ce projet a été proposé dans le cadre du concours AMITER (mieux aménager les territoires en mutation exposés aux risques naturels) organisé par le ministère de la transition énergétique en lien avec le Cerema et le Puca. Plusieurs sites mutables étaient proposés afin de concevoir des projets visant à concilier prévention des risques naturels et projets d’aménagement.
Dans cette proposition, l’existant est une ressource préalable et essentielle à la fabrication du projet et l’usage constitue le principal outil de programmation, au coeur de la conception des espaces. L’adaptabilité des espaces face au temps, aux usagers et aux fonctions est ici pensé comme un outil majeur de développement.
Cette forme urbaine intermédiaire offre ainsi les qualités de la maison tout en apportant une dimension collective. Le projet développe 35 logements et des locaux d’activités, sur une friche en bord de Seine où la prise en compte du risque d’inondation devient une constituante majeure du projet.
Ce projet a été proposé dans le cadre du concours AMITER (mieux aménager les territoires en mutation exposés aux risques naturels) organisé par le ministère de la transition énergétique en lien avec le Cerema et le Puca. Plusieurs sites mutables étaient proposés afin de concevoir des projets visant à concilier prévention des risques naturels et projets d’aménagement.
Dans cette proposition, l’existant est une ressource préalable et essentielle à la fabrication du projet et l’usage constitue le principal outil de programmation, au coeur de la conception des espaces. L’adaptabilité des espaces face au temps, aux usagers et aux fonctions est ici pensé comme un outil majeur de développement.